petit A : je le prends mal de façon assez primaire. Mais c'est tombé bien vite dans le piège du provocateur chafouin qui n'attend que ce déclic pour ensuite étaler sa condescendance brillante de rationalité évidente. C'est clairement la pire alternative possible comme l'ont illustré avec brio
Francis Lalanne ou bien
Cali qui ont fait grand honneur au Eric Naulleau sus cité et sont devenus bien malgré eux des icônes de la mythologie de l'émission "On n'est pas couché".
petit B : petite variante de la première option, à l'instar de
Jacques Weber, je tape du poing sur la table et je lui cause pu d'abord. GROA GROA. Oui mais trop tard, le choix s'est déjà écarté de lui même.
petit C : je klaxonne, en vérifiant d'abord que je ne traverse pas une agglomération.
petit D : motivé par une vengeance sournoise, je fais
un petit mot d'esprit en retournant une grosse saloperie à l'envoyeur l'air de rien. Mais est-ce que l'homme le plus classe du monde se serait mis au niveau de ses détracteurs ? Non, il aurait assurément préféré partir plutôt que d'entendre ça plutôt que d'être sourd.
petit E : à propos de partir, je fais comme
Jacques Attali et prend la tangente ; c'est à dire que je ferme le site illico et adios les idioties mondedemerdiennes. Pour un commentaire foireux, c'est toutefois oublier bien vite les milliards de lecteurs accrocs à mon ridicule latent et mes chroniques d'inculte notoire ; ce qui serait vraiment égoïste. Le geste aurait quand même pour lui un élan romantique séduisant.
petit F : je fais un concours de tong avec Mike Tyson et je pars vendre des poissons panés au Tibet.
petit G : je reste stoïque sans mot dire comme
Sliimy. Cependant, je deviens alors la victime de cette terrible loi des sociétés humaines qui sévit à travers les ages depuis la nuit des temps : "le dernier qui parle a toujours raison". Dieu sait qu'elle a fait des ravages. Cela dit, présentement dans notre contexte, c'eut été une option tout à fait envisageable. Après tout, cette page web s'appelle monde de merde et toute illustration contribue à la véracité de l'intitulé du site.
petit H (vas-y passe passe le oinj) : plus fort que Sliimy, je fais du positivisme forcené. Comme
la gentille Zazie, je philosophe sur les méchants qui sont fatalement méchants mais je leur en veux pas. Ils sont comme ça les méchants, c'est pas de leur faute.
Je leur fais même des bisous. Mais là, cela serait trahir la ligne éditoriale du site qui ne s'appelle pas monde de bisounours je te ferais dire.
petit I : j'explique pourquoi je ne suis pas d'accord avec les propos avancés. Point par point, méthodiquement, posément et calmement. Mais bon, pourquoi se faire chier quand la critique originelle est d'abord une provocation pour faire style ? Et puis,
la vérité, ça n'a jamais intéressé personne.
petit J :je gifle